Le Classique, ses amis au PSG, Tuchel : Ménez se livre | OneFootball

Parisien de souche, Jérémy Ménez aurait pu être l’un des protagonistes du match PSG – Marseille, ce dimanche. Mais le destin en a décidé autrement.

Maintenant qu’il est sur la périphérie de cette rivalité, l’ailier du Paris FC s’est livré sans détours sur Le Classique, les joueurs du Paris Saint-Germain et l’entraîneur qui est à leur charge.

Voici les morceaux les plus croustillants de son interview avec la LFP.

Son amitié avec les anciens coéquipiers au PSG : « Avec Thiago Silva et Marco Verratti, on s’écrit encore de temps en temps, on s’envoie des petits messages sur Instagram. Je suis impressionné par l’évolution de Marco et de Marquinhos, qui étaient déjà très très forts à l’époque. Ce sont deux joueurs qui ont beaucoup progressé, au point de devenir des pièces importantes en équipe nationale. »

L’effet Gignac au Mexique : « J’avais un peu parlé avec lui avant de signer au Mexique. Dans son club, c’est une idole. Il a marqué énormément de buts, des buts importants. Là-bas, il est chez lui. Il a permis de faire connaître le football mexicain, notamment en France, et c’est un beau championnat. Ça va ouvrir des portes. »

L’effet Tuchel au PSG : « Thomas Tuchel dégage quelque chose de positif. Il est souriant, il parle beaucoup avec les joueurs, il a l’air proche des joueurs. Nous, les joueurs, on aime ce type de coach. »

La pression du Classique : « C’est le genre de matchs qui te motivent plus que tout. J’aimais bien ces affiches et j’ai eu de la chance d’avoir de la réussite. Je n’ai jamais eu de soucis sur les Classicos, c’était de la bonne pression, de super matchs à jouer. »

Son meilleur souvenir du Classique :  « Comme supporter, je dirais la victoire 3 à 0 au Vélodrome avec un super Ronaldinho. Et en tant que joueur, j’ai déjà marqué deux fois contre l’OM au Parc des Princes donc ça reste. J’en avais mis un à Mandanda en Coupe de la Ligue et un en championnat, et on avait gagné à chaque fois. »