Le début d'année idyllique de Maxence Caqueret | OneFootball

Le début d'année idyllique de Maxence Caqueret | OneFootball

Icon: OneFootball

OneFootball

Pierre Germain·14 janvier 2019

Le début d'année idyllique de Maxence Caqueret

Image de l'article :Le début d'année idyllique de Maxence Caqueret

Le milieu de terrain est revenu sur ces dernières semaines parfaites au micro d’OL TV.

Ses premiers mots dans le groupe pro : « Je leur ai dit que j’étais très heureux d’être avec eux, que j’étais ici pour travailler, pour m’imposer dans ce club et que j’allais tout faire pour rester avec eux cette saison. »


Vidéos OneFootball


À propos de sa place au sein du vestiaire : « Grâce aux entraînements, ce n’est pas compliqué d’être intégré au vestiaire. Mais c’est vrai qu’au début on se fait tout petit. C’était mon objectif depuis mon arrivée à l’OL mais ce n’est pas une fin en soi. Ce n’est que le début… »

Image de l'article :Le début d'année idyllique de Maxence Caqueret

Sur celle au sein du musée de l’OL : « C’est énorme ! J’ai vu ça après le match face à Bourges. C’est touchant d’être entré dans l’histoire du club… »

Concernant sa première titularisation : « Le coach a fait sa causerie, puis il a annoncé le nom des onze titulaires. À ce moment-là, j’ai vu que mon nom était inscrit sur la feuille de match, dans l’équipe de départ. J’étais un peu surpris mais content à la fois… après, j’ai tout de suite préparé mon match. »

L’auto-critique de sa prestation : « C’est dur de se juger. Dans l’ensemble, je pense que ce n’était pas trop mal mais je sais que je peux faire et que je dois faire beaucoup mieux. »

À propos de son premier contrat pro :  « C’est une période assez extraordinaire pour moi : j’ai vécu mes premiers pas en pros, j’ai aussi signé mon premier contrat professionnel… C’était mon objectif numéro un mais ce n’est qu’une étape de ma carrière. L’OL, c’est mon club de cœur. Avant même mon arrivée ici, je supportais déjà ce club. Chaque année, j’avais mon maillot de l’OL.

Je suivais tous les matches avec mes parents. Arriver ici et signer pro quelques années plus tard, c’est incroyable ! J’avais même des posters de plusieurs joueurs comme Juninho ou Michel Bastos… Et j’étais fan de Grégory Coupet : quand j’avais quatre ans, j’étais allé à une séance de dédicaces et il m’avait signé des gants. Mais je ne pense pas qu’il soit au courant. »

Concernant son rêve de devenir footballeur professionnel :

J’ai toujours voulu devenir footballeur. Quand on me posait la question à l’école, c’était toujours la même réponse : devenir joueur professionnel. On me dit souvent que c’est compliqué de ne pas avoir un gros physique à ce poste de milieu de terrain. Mais je suis un joueur qui joue simple, qui évite le plus possible les duels mais qui n’hésite pas à y aller quand il le faut. J’ai un modèle, c’est Andres Iniesta. Depuis que je suis petit, je le regarde jouer. Et aujourd’hui encore, je me passe vidéos de lui.