À suivre : le Real en mission, choc à Londres et Serie A en folie 👀 | OneFootball

Real Madrid-FC Séville (samedi, 16h15)

Battus 3-0 à l’aller, les madrilènes seront remontés pour s’offrir une revanche au Santiago Bernabéu. Blessé au doigt, Karim Benzema sera tout de même présent. La réception de Séville revêt une double importance : tenter de rester au contact de l’Atletico de Madrid, deuxième, mais aussi doubler le FC Séville, 3e à égalité avec le Real Madrid.

En face, l’équipe de Pablo Machin n’affiche pas la forme vue avant Noël. Les andalous n’enchainent plus les victoires et restent sur une défaite à Bilbao en championnat. Attention toutefois pour le Real, Banega et Ben Yedder sont dans une grande forme.

Arsenal-Chelsea (samedi, 18h30)

Le quatrième de Premier League reçoit le cinquième ce weekend. Si une seule place sépare les Blues des Gunners, les deux équipes évoluent dans deux sphères différentes.

Avec 6 points d’avance, Chelsea est au contact du podium et n’a que deux victoires de retard sur City, deuxième. Les Blues se sont essoufflés après un début de saison incroyable, mais personne en Angleterre ne remet en question Maurizio Sarri.

Pour Arsenal, la situation est plus compliquée. Unai Emery ne fait pas forcément l’unanimité et les faiblesses défensives ont plombé un début de saison séduisant. Les Gunners ont été rejoints au classement par Manchester United et semblent incapables de revenir sur le Big Four. Une victoire dans ce derby de Londres permettrait de rebattre les cartes.

Naples-Lazio Rome (dimanche, 20h30)

Cette année, le suspense en Serie A se portera surtout sur les places européennes. La Juventus, invaincue et n’ayant cédé que 4 petits points depuis le début de la saison, parait indétrônable. Deuxièmes, les napolitains ont quatre points d’avance sur l’Inter, et douze sur la Lazio.

Au San Paolo, les hommes de Carlo Ancelotti semblent donc largement favoris face à ceux de Simone Inzaghi dimanche soir. Mais si Naples a souvent croqué la Lazio ces dernières années, le changement de jeu imposé par le nouvel entraineur pourrait modifier la physionomie de l’opposition.

Plus travailleur, plus équilibré et moins foufou, le Napoli d’Ancelotti aura plus de mal à poser des problèmes à une Lazio souvent dépassée par les contres assassins. En revanche, difficile d’imaginer les laziale prendre le dessus sur la défense parfaitement huilée des partenopei.