📽 Les plus beaux buts d'Eto'o en Liga et en Serie A | OneFootball

C’est officiel.

Après plus de deux décennies à écumer les surfaces du monde entier, Samuel Eto’o raccroche les crampons, comme il l’a annoncé sur son compte Instagram samedi.

Après avoir fait ses débuts en tant que joueur professionnel au Real au sortir d’une saison avec la Castilla, le jeune Camerounais enchaine les prêts entre 1997 et 2000.

C’est à Majorque qu’il explose (64 buts marqués en 152 matchs entre 2000 et 2004) et tape dans l’oeil du FC Barcelone, qu’il rejoint à l’été 2004.

Le début d’une demie décennie en Catalogne où il atteint le meilleur rendement de sa carrière (139 buts en 199 matchs) et remporte notamment 3 fois la Liga, 2 fois la Ligue des Champions avant de signer à l’Inter en 2009.

Élu 3 fois meilleur joueur africain de l’année lors de ses années en Espagne (2003, 2004, 2005), le natif de Douala est une fois de plus plébiscité en 2010 lors de sa deuxième saison à Milan, année où l’équipe lombarde réalise le triplé Serie A, Coupe d’Italie et Ligue des Champions.

Si l’attaquant africain reste efficace lors de son passage en Russie (36 buts marqués en 73 rencontres avec l’Anji Makhatchkala), le départ de l’Inter en 2011 marque le début du déclin du joueur.

S’il profite de son statut d’attaquant de classe mondiale pour négocier un salaire mirobolant avec l’équipe russe (20 millions annuels), il perd en revanche en exposition en s’exportant, alors âgé de 30 ans, dans un championnat moins coté.

Après des bails en Premier League (Chelsea, Everton) puis un passage éclair en Italie à la Sampdoria, il passe 3 ans dans le championnat turc (Antalyaspor puis Konyaspor) avant de partir vers une dernière fructueuse aventure sportive au Qatar.